4 Go…

Je ne résiste pas à l’envie de vous montrer cela :

~$ free -m
total used free shared buffers cached
Mem: 3916 1270 2645 0 33 522
-/+ buffers/cache: 714 3201
Swap: 5749 0 5749

Voilà, cela signifie que j’ai 4 Go de RAM sur mon ordinateur.

A quoi cela sert ? et bien pour mes machines virtuelles de tests (d’ailleurs cela me fait penser qu’il faut que j’installe une machine Solaris avec un WebSphere Application Server 6.1 pour une formation à donner dans deux semaines…)

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Nouveau portable : Dell Latitude E5500

Je viens d’avoir un nouvel ordinateur portable, tout beau tout neuf. Il s’agit d’un Dell de la gamme Latitude, le modèle E5500. Il est équipé d’un Core 2 Duo de 2,26 Ghz, 2 Go de RAM et d’un disque de 160 Go 5400 RPM. Son écran est un 15 pouces avec une résolution de 1440×900 pixels.

Je vais pratiquer quelques optimisations sur sa configuration, en particulier, lui mettre 4 Go de RAM (c’est fait) et remplacer son disque dur interne par un 250 Go 7200 RPM (ce sera son cadeau de Noël).

Bon, le but de ce billet n’est pas (seulement) de dire à tout le monde que j’ai une nouvelle bécane, mais plutôt de vous montrer cette photo de la bête avec « son capot ouvert ». Continuer la lecture de Nouveau portable : Dell Latitude E5500

Gestion des packages avec YUM sans connexion Internet et avec le dvd Redhat

Mise à jour le 19/08/2010

Pour ceux qui ne connaissent pas YUM, ce dernier est un utilitaire bien pratique dans les distributions Linux utilisant les packages RPM, tel que RedHat ou CentOS.

YUM permet en effet de faire la gestion des packages sur ces types de distributions, en gérant les dépendances entre les packages, c’est-à-dire que si vous voulez installer par exemple PHP sur votre serveur Linux RedHat, il suffit de faire « yum install php » et hop, tous les packages nécessaires à PHP vont être installés (entre autres le serveur Apache HTTP :-)).

Mais pour cela, YUM a besoin d’une connexion à Internet pour 1/ localiser le package désiré, 2/ télécharger son entête pour voir ses dépendances, 3/ télécharger les entêtes de ses dépendances et générer également les dépendances de ses dépendances, 4/ puis quand il n’y a plus de dépendances à gérer, procéder au téléchargement et à l’installation.

Le problème est que parfois, la connexion à Internet n’est pas disponible pour faire des installations ou des mises à jour sur des serveurs dans des salles blanches sécurisées. Pas de problème, YUM avec un peu de configuration sait aussi travailler en « local », à partir du média d’origine ou d’une version de mise à jour. Continuer la lecture de Gestion des packages avec YUM sans connexion Internet et avec le dvd Redhat

Version bêta de Ubuntu 8.10, nom de code : Intrepid Ibex

La prochaine version de la distribution Linux Ubuntu est prévue pour le 30 octobre 2008. En attendant, la version bêta est sortie.

Parmi la (petite) liste des nouveautés, je retiens celles-ci :

  • La possibilité d’avoir un répertoire privé et surtout crypté pour chaque utilisateur. Basé sur ecryptfs, cela permet donc d’avoir des données cryptées sur son disque, ceci de manière transparente (c’est intégré au keyring et s’affiche comme un nouveau disque). Si jamais vous perdez votre ordinateur (ou on vous le vol), vous serez certainement content de cette fonctionnalité. Elle est d’autant plus intéressante qu’elle ne nécessite pas le cryptage complet du disque ou d’un partition (comme truecrypt par exemple), ceci étant (à mon avis) un avantage si jamais vous avez un pépin au niveau de votre ordinateur et qu’il faille ré-installer.
  • La possibilité d’avoir un compte Invité (guest) temporaire, pour, par exemple donner l’accès à un ami sur votre poste, afin qu’il puisse consulter ses emails, surfer, ou carrément travailler ses documents Word sous Google Docs, etc. Cette fonctionnalité part du constat qu’aujourd’hui, seul un navigateur web suffit pour travailler, les couches sous-jacentes (système d’exploitation et disons disque dur) ne sont plus requises.

Malheureusement, la version 3.0 d’OpenOffice n’est pas inclut dedans (du moins pour l’instant). On reste sur la version 2.4.1.

Vous pouvez trouver les différentes versions 8.10 de Ubuntu à cette adresse :

http://www.ubuntu.com/testing/intrepid/beta

Livres libres sur Ubuntu, Thunderbird et OpenOffice

Vous avez déjà entendu parler de la distribution Linux nommée Ubuntu, du client de messagerie Thunderbird et de la suite bureautique OpenOffice.

Vous vous êtes même dit.. faut que j’essaie… et puis vous avez essayé, mais vous êtes revenu en arrière car le logiciel (ou la distribution) n’avait pas les mêmes mécanismes que l’ancien. Finalement : c’est trop compliqué et il n’y a pas de ‘docs’…

En fait, vous n’avez plus d’excuses, car Framabook propose des livres libres (version donc « open source ») sur la dernière version de Ubuntu (8.04), Thunderbird 2.0 et OpenOffice 2.4. Continuer la lecture de Livres libres sur Ubuntu, Thunderbird et OpenOffice

Redbooks : Linux Performance and Tuning Guidelines

Linux ayant une place importante dans mon utilisation informatique, il est bien normal d’être à l’affût de bons documents dessus. IBM via son site de publications Redbooks nous propose un excellent document sur les performances et l’optimisation de Linux (il s’agit en réalité d’une mise à jour d’un document déjà sorti en juillet 2007).

Redbooks : Linux Performance and Tuning Guidelines

Ce livre nous propose ainsi une large introduction au fonctionnement interne de Linux au niveau de la gestion des processus, les architectures mémoire (en particulier les différences entre systèmes 32 bits et 64 bits), les systèmes de fichiers (ext3, ext2, etc.), la gestion des entrées / sorties et la gestion du réseaux. C’est extrémement instructif.

La suite est un panorama des outils disponibles sur les distributions Linux pour la supervision et le benchmark. Chaque outil est expliqué, en particulier l’interprétation des données affichées.

Les deux derniers chapitres nous montrent d’une part les méthodes d’identifications des goulots d’étranglements (bootlenecks) au niveau CPU, mémoire, disques et réseaux. Et d’autre part des techniques d’optimisation de sa machine Linux (orienté serveur).

Pour résumé, ce document doit être une référence pour tout bon administrateur système qui s’occupe de serveurs Linux ou tout personne soucieuse (comme moi) des performances des bécanes !

Bon lecture.
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Ubuntu content, et Vista décidément pas content

A une journée de la sortie de Ubuntu dans sa version 8.04, et après deux mois d’utilisation de la version 7.10 de Ubuntu (plus quelques jours de 8.04 RC), qui ont été précédés de 10 mois de Vista (32 bits et 64 bits), je me permets quelques mots :

Depuis la sortie du SP1 de Vista (il y a quelques semaines), je n’ai pas fait l’upgrade sur mon Vista (dual boot), pas à cause des mauvais retours sur le SP1 de Vista que l’on trouve sur Internet, mais simplement car je n’ai pas booté sur mon Vista depuis sa sortie… (je précise que j’ai l’ai pourtant téléchargé… depuis mon Linux)

Clairement, je suis satisfait de Ubuntu par rapport à mon utilisation. Il y a vraiment pas mal de petits plus sous Linux (Gnome) par rapport à Vista sur la convialité (la version 8.04 encore plus)

Décidément je ne suis pas satisfait de Vista, malgré mes premières impressions à l’époque. en effet, depuis j’étais passé à la version 64 bits de Vista, qui est carrément plus « difficile » que la 32 bits. Drivers pas trouvables ou buggés, nécéssité de mettre à jour (la dernière version) des logiciels, et de trouver ‘par miracle’ du logiciel la version 64 bits, sinon par défaut la version 32 bits. (cas d’exemple : ma carte Wifi qui se stoppait tout seule de manière aléatoire.)

Et d’un point de vue « apport », Vista n’est pas top. Enfin… Maintenant je peux être critique, car j’ai trouvé une bonne alternative, et qui plus est, alternative respectable : Linux Ubuntu.

Je suis également « rassuré » de lire, entendre et voir que je ne suis pas le seul à être déçu par Vista. Il suffit de surfer un peu sur Internet pour s’en rendre compte, ou bien poser la question à un utilisateur de Vista. Souvent Windows XP est glorifié, ou carrément : doit remplacer le Vista.

Pour revenir sur mon passage à Linux, je suis content (ou surpris) de voir que les personnes (généralement des informaticiens de part mon métier d’informaticien) à qui j’apprends ma migration, d’une part connaissent Linux et Ubuntu, et d’autre part ne sont pas étonnées de mon choix. En tout cas, je n’ai pas la question : « Et alors cela marche ? ». Comme quoi Linux a réellement une crédibilité comme poste de travail.

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Ubuntu 8.04 Hardy Heron beta : mise à jour réussie

Pour ceux qui ne le savent pas, dans quelques jours la nouvelle version de Ubuntu va sortir. Il s’agit de la version 8.04 LTS qui vient à la suite de la version 7.10. Le sigle LTS veut dire Long Term Support, qui signifie que cette version a une durée de support plus longue que les autres versions non estampillées LTS. Il s’agit donc d’une version pour les administrateurs (en entreprise) ou les utilisateurs voulant une garantie de support longue afin d’éviter de faire des mises à jours trop souvent.

Pour ma part, je n’ai pas cette contrainte, puisque je viens de réussir (où plutôt le programme d’upgrade de Ubuntu) mon passage à la version beta 8.04 depuis la version 7.10.

J’ai simplement suivi la procédure (update-manager –devel-release) et laisser le téléchargement se faire.

Néanmoins j’ai eu le droit à un souci important à la fin au niveau du redémarrage : GRUB m’indiquait qu’il ne pouvait pas démarrer sur la partition. Aie. Heureusement que j’avais déjà rencontré cette erreur par le passé. Le problème vient que le GRUB ne pointe pas vers la bonne partition Linux. Il doit s’emmêler les pinceaux avec ma partition principale Linux qui est une partition étendue (sda5).

Pour résoudre le problème, il m’a suffit de rebooter sur le CD de Ubuntu 7.10 en mode Live. Puis monter la partition /dev/sda5 (celle de mon Ubuntu) et éditer le fichier /mnt/sda5/boot/grub/menu.lst. J’ai corrigé les différents « root (hd0,5) » en « root (hd0,4) » (avec un gedit ou vi en tant que root).

Puis lancement de la commande « sudo grub ». Au prompt de Grub, j’ai saisie les deux commandes suivantes : 1/ « root (hd0,4) » et 2/ « setup (hd0) » (et « quit » pour finir). Et hop, reboot.

Le redémarrage se fait bien. Deuxième problème l’affichage graphique : Ubuntu démarre en mode graphic safe. Visiblement les drivers propriétaires Nvidia ne sont pas disponibles, donc après une configuration manuelle du driver (nv) et la résolution de mon écran (1920×1200 flat panel) tout va bien.

Me voilà donc a vous écrire avec un Ubuntu 8.04. Pas de perte de configuration / personnalisation. Mes fichiers sont bien là.

Mes premières impressions :

  • OpenOffice 2.4 : enfin les polices utilisées pour l’affichage des menus sont en cohérence avec les polices de l’interface général.
  • Firefox 3 semble hyper rapide à l’affichage
  • Le passage connexions par câble vers connexion wifi est immédiat (alors qu’avant il y avait un temps de latence chez moi, voir même la nécessité de force un peu la chose)
  • Le thème Unity est sympa et donne une belle impression de légèreté

En un mot : content.

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GnuCash en Français sur un Ubuntu en Anglais

Mise à jour : 23/10/2009 04/10/2010

Depuis peu, Depuis 2007, j’utilise Ubuntu (puis maintenant Debian) comme système d’exploitation principal au lieu de Windows Vista. Bien qu’étant français, je préfère travailler avec un Ubuntu une Debian en anglais. Cela permet entre autre de faire des recherches dans Google avec le bon vocabulaire anglais quand il a un problème et d’avoir plus de réponses.

Pour revenir à GnuCash : Avec mon passage à Linux en 2007, il m’a fallut remplacer Money 2005 que j’utilisais pour gérer mes comptes, par le logiciel de gestion de comptes GnuCash.

Cependant avec un Ubuntu ou une Debian en anglais, c’est un GnuCash en anglais qui se lance… Et là, contrairement à ma préférence pour l’anglais, je préfère le français pour mes comptes… D’autant plus que les imports / exports de mes comptes Money étaient en Français.

Et puis il vaut mieux ne pas se tromper avec son argent 🙂 Continuer la lecture de GnuCash en Français sur un Ubuntu en Anglais

Redimensionnement d’un disque NTFS / Vista en utilisant Gparted sous Ubuntu Live CD

Je suis entrain de passer sous Linux Ubuntu comme système d’exploitation de tous les jours dans mon travail, ceci à la place de Windows Vista. (dans les deux cas en x64).

J’ai un ordinateur portable Dell D820 avec deux disques durs, un de 100 Go et un deuxième dans la media bay de 80 Go. Depuis l’achat de ce portable en avril 2007, j’ai toujours eu un dual boot entre Windows et Linux Ubuntu. Ce partage a toujours été en faveur de Windows du coté des disques, Linux étant là pour des « tests » ou tentatives de basculement.

Aujourd’hui, c’est le contraire, Linux a enfin la faveur de mes disques dur. Pourtant cela n’a pas été sans mal.

En effet, sur mon disque 1 (/dev/sda), j’avais une partition de 80 Go NTFS et une partition de 11 Go Linux. Suite à deux semaines de travail avec Linux, je décide donc de donner un peu plus d’air à mon Linux pour vivre. Windows Vista étant fourni avec une fonctionnalité de redimensionnement de disque (shrink), je décide donc de faire une défragmentation de disque avec le merveilleux utilitaire gratuit Jkdefrag pour placer tous les octets utilisés au début du disque afin de pouvoir faire un redimensionnement avec le plus grand espace disponible.

Pour cela, j’ai utilisé la commande suivante : jkdefrag.exe -a5 c:

Après quelques heures, j’ai bien tous mes secteurs au début, mais il reste pas mal de bloc indéplaçables. Quelques recherches Google plus loin… Continuer la lecture de Redimensionnement d’un disque NTFS / Vista en utilisant Gparted sous Ubuntu Live CD